Mon propos


Le journal intime d'une trentenaire, errante sexuelle.
On m'a toujours traitée de fille facile, de traînée, de marie-couche-toi-là. J'assume.
Je suis comme ça.
J'essaierai d'être vraie, sans fard, au fil d'un journal décousu, fait de réflexions, d'expériences vécues racontées franchement, sans détour mais sans vulgarité.
Isa
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Correspondance

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Rachid

Mercredi 8 août 3 08 /08 /Août 16:23
Oui, j’avoue ne pas être très assidue à la tenue de ce blog, auquel je tiens pourtant beaucoup, d’une part parce qu’il représente l’expression profondément intime de ce que je suis, et d’autre part par l’intérêt que vous tous y portez, avec une assiduité et un intérêt qui me surprennent toujours plus, et m’obligent aussi. Près de 780 000 visites depuis que je me suis lancée dans cette aventure ! Peu de réactions par des commentaires directs aux différents articles, mais beaucoup de courrier reçu sur mon adresse mail, auquel je néglige souvent de répondre, faute de temps et d’énergie, mais que je conserve précieusement, afin d’en mettre en ligne les extraits les plus signifiants, avec cette fois la réponse que je leur doit. En voici donc une nouvelle livraison, qui témoigne de l’attachement et l’intérêt que vous me portez, ce dont je vous suis profondément reconnaissante.
Isabelle
Par Isa - Publié dans : Rachid
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Mardi 14 mars 2 14 /03 /Mars 00:23
Je suis restée plusieurs mois sous la coupe de Rachid. Il se servait de moi comme son vide couilles permanent, comme il me l’avait annoncé sans ambages, et me baisait sans ménagement par tous les trous. Alors que j’aurais dû détester être rabaissée comme il aimait le faire, être réduite en objet qu’il utilisait à sa guise, souvent avec brutalité, j’étais étrangement attirée. Dès qu’il claquait dans les doigts, j’accourais. J’avais beau me dire que c’était parce qu’il valait mieux lui obéir pour éviter une correction que, de toute façon, je prenais quand même souvent, je ne pouvais pas me cacher qu’au fond j’y prenais une certaine forme de plaisir assez malsain.
Je savais ce qui m’attendait, et pourtant je n’ai jamais vraiment cherché à me dérober, à échapper à son emprise. Il n’avait qu’un geste à faire, un simple claquement de doigts, et je le suivais en silence. Les autres hommes du quartier me regardaient avec envie et dépit de ne pas pouvoir m’approcher. J’étais sa propriété, sa chasse gardée. Certaines filles, qui avaient eu affaire à Rachid et connaissaient ses méthodes, me considéraient avec un mélange de commisération et de mépris. Pour avoir eu la faiblesse de sortir un jour avec lui, la plupart semblaient ne pas comprendre pourquoi, moi, je continuais à accepter ce qu’elles avaient apparemment trouvé inacceptable.
Je m’en foutais au fond. J’acceptais mon sort parce que j’y trouvais une certaine forme de satisfaction intérieure, sombre, un peu morbide, dans laquelle je me complaisais. Lui utilisait sans vergogne sa « pute blanche » pour satisfaire ses besoins, qui étaient insatiables. Presque tous les jours pendant huit mois, il a forcé ma bouche durement en me serrant le cou, trouvant un plaisir évident à m’amener à la limite du vomissement, à faire couler mon rimmel sur les joues, avant de s’attaquer à mes autres orifices. Il adorait me sodomiser à cru, sans autre lubrification qu’un peu de salive, pour m’arracher des gémissements et des supplications, avant de souiller ma figure de sa jouissance.
Puis un jour, j’ai fini de l’intéresser. Il m’avait assez utilisée. Je me laissais faire trop docilement. C’était trop facile ; Il n’y trouvait plus de plaisir. Il avait besoin de chair fraîche, de nouvelles filles qu’il prendrait un malin plaisir à dominer et à forcer. Il m’a jetée du jour au lendemain comme une vieille chaussette sale qui aurait trop servi.
Par Isa - Publié dans : Rachid
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Lundi 13 mars 1 13 /03 /Mars 01:34
Peu à peu, je suis remontée à la surface, j’ai repris mes esprits. Lui n’avait pas joui. Il était toujours planté au plus profond de mon vagin, mais ne bougeait plus. Il m’observait intensément, m’obligeant à lui montrer la jouissance qu’il m’avait infligée en me bloquant toujours fermement la tête. Je ne pouvais pas lui échapper, éviter de lui livrer l’aveu de ma défaite. Puis il s’est brusquement retiré et d’une traction sur les cheveux il m’a forcée à me retourner sur le ventre. – Maintenant, je vais t’enculer, ma pute, c’est tout ce que tu mérites.
D’un mouvement brusque, il m’a fait écarter largement les cuisses. Une main toujours crispée sur mes cheveux, l’autre m’ouvrant les fesses sans ménagement, il m’a plantée sa bite dans l’anus. D’un seul coup. Violemment. Je n’ai pu m’empêcher de lâcher un cri tant bien que mal étouffé par l’oreiller. J’ai ressenti l’onde de douleur me remonter le long de la colonne vertébrale. Il m’a fait mal, terriblement. C’est ce qu’il cherchait. M’écrasant de tout son poids, il s’est mis à me labourer le cul implacablement. J’avais l’impression terrible qu’il allait me déchirer. J’avais eu le temps et l’occasion de vérifier qu’il avait une bite très large, encore plus épaisse à la base. Chaque fois qu’il s’enfonçait complètement dans mon anus, je le sentais clairement s’ouvrir encore un peu plus, devenir béant. Le rebeu était penché tout contre moi, m’obligeant à tourner la tête vers lui, une main plantée dans ma nuque, l’autre forçant ma bouche. Il me murmurait à l’oreille des mots en arabe, que je ne comprenais pas. Mais je devinais. Il me crachait à petits jets sur la figure. Sa salive inondait mon visage. Il prenait possession de moi, marquait son territoire. Puis il a lâché ma chevelure pour s’emparer de mes seins, les serrer durement, en pincer les bouts pour m’arracher les gémissements que je ne voulais pas lui offrir. Mais j’ai dû céder, émettre une longue plainte scandée chaque fois qu’il me poignardait le cul.
Impuissante, je l’ai subi longtemps, les doigts plantés dans les draps, le visage crispé à chaque coup de boutoir. J’avais l’impression de passer sous un rouleau compresseur. Il me sodomisait d’une manière implacable. J’ai bientôt cessé de gémir, c’était inutile. Je ne pouvais pas m’empêcher de noter que du plaisir se mêlait à la douloureuse pénétration. Oui, du plaisir. Celui de me sentir prise comme jamais, forcée, dévastée. Celui de me sentir soumise à un mâle dominant qui m’imposait sa loi et prenait en force son plaisir égoïste dans mes reins. Combien de temps cela a-t-il duré ? Une heure peut-être. Sa puissance paraissait inépuisable, j’étais totalement épuisée. Je me laissais enculer sans bouger, passive et inerte. Je n’avais pas de plaisir physique. C’était très rude et douloureux. J’étais juste intriguée par l’étrangeté de ce que je ressentais. Un plaisir cérébral à me sentir défoncée, violée sans merci, à ressentir son plaisir à lui. Il a joui enfin. Il a déchargé par saccades son foutre dans mon cul. Il a haleté son souffle chaud dans mon oreille, contre ma joue, puis s’est effondré. Nous sommes restés longtemps comme ça, inertes, lui vautré sur mon corps laminé. J’ai fini par sentir sa bite dégonfler, se rétracter, se retirer de mon anus béant, écorché vif.
Par Isa - Publié dans : Rachid
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