Vendredi 12 septembre
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Oui je sais. Nombreux sont ceux qui m’ont
(amicalement) reproché de les avoir négligés, d’avoir négligé mon blog. C’est vrai qu’il y a bien longtemps que je n’y suis pas venue livrer des bribes de mon journal intime. Qu’ils m’en excusent.
Ce blog, j’y tiens comme à la prunelle de mes yeux, mais il n’est tout de même pas toute ma vie.
Ma vie, je la vis, dans le réel. J’y prends du plaisir, j’y prends aussi quelquefois des mauvais coups. Mais c’est ma vie… Il s’est passé beaucoup de choses pendant cette longue absence. Une
profonde évolution dans mon errance. Que je raconterai sans doute un jour. Mais le temps n’est pas encore venu. J’ai encore tant d’anecdotes à me remémorer, à vous livrer, avant de passer à ce
nouveau chapitre de ma vie qui se développe maintenant.
Je vous en livre une aujourd’hui, déjà ancienne, mais significative de ce que je suis, sans honte une fois toute honte bue, sans pudeur tant j’ai depuis longtemps perdu tout motif à pudeur
déplacée…
J’en ai profité pour renouveler l’apparence de ce blog, qui commençait à vieillir. Et puis, fidèle à mon habitude, je ferai un petit florilège des courriers, très nombreux, que vous m’avez envoyés
ces derniers temps…
Par Isa
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Publié dans : Votre correspondance
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