Mon propos


Le journal intime d'une trentenaire, errante sexuelle.
On m'a toujours traitée de fille facile, de traînée, de marie-couche-toi-là. J'assume.
Je suis comme ça.
J'essaierai d'être vraie, sans fard, au fil d'un journal décousu, fait de réflexions, d'expériences vécues racontées franchement, sans détour mais sans vulgarité.
Isa
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Correspondance

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Lundi 1 mai 1 01 /05 /Mai 02:05
Pendant ce temps, d’autres s’occupaient de mon derrière. J’avais tellement de mal à avaler l’autre bite par-devant que j’avais peine à faire attention à ce qui se passait de l’autre côté. C’est comme si j’étais partagée en deux parties qui subissaient les assauts chacune de leur côté. J’avais la chatte et l’anus envahis par des doigts agressifs. Le petit trou me faisait mal et me brûlait. Les types derrière moi étaient surexcités. Des claques s’abattaient rudement sur mes fesses. Je crois qu’ils s’y mettaient tous. J’étais solidement tenue, je ne pouvais que subir la cuisante correction…
Une queue s’est enfoncée d’un seul coup tout au fond de mon vagin et s’est mise à me labourer brutalement pendant que le type me tenait solidement par les hanches. Celui qui avait forcé ma bouche s’est brusquement retiré pour céder la place à un autre qui m’a agrippé fermement la gorge pour me pistonner violemment. Les yeux embués, je salivais énormément, au bord du vomissement à chaque coup de boutoir. Des mains rudes pressaient mes seins, pinçaient durement les bouts. Les salauds étaient déchaînés. Certains gueulaient parce que les autres ne leur laissaient pas la place pour pouvoir m’enfiler à leur tour.
Par Isa - Publié dans : Le stage
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Samedi 29 avril 6 29 /04 /Avr 11:58
Certains avaient déjà sorti leur queue et se branlaient en me contemplant. D’autres s’étaient levés pour se rapprocher. J’étais cernée par les blacks qui se collaient à moi, s’emparaient sans douceur de mes seins. Déjà je sentais des doigts m’investir, forcer mon vagin. Les types s’esclaffaient, s’échangeaient bruyamment des commentaires salaces, disaient qu’ils allaient bien profiter de la salope de blanche. Quelqu’un me planta ses doigts dans la nuque et me força à me pencher en avant. Aussitôt je sentis des mains m’écarter encore plus les cuisses et les fesses, des doigts investir durement mes orifices.
Je n’ai même pas eu le temps d’émettre la moindre protestation : une bite me forçait déjà la bouche. Je me suis sentie empoignée violemment par les cheveux pour que je l’avale. J’ai dû engloutir l’énorme boudin noir. Le type s’est aussitôt enfoncé jusqu’au fond de la gorge. J’ai cru que j’allais vomir sous la violence de la poussée. Je sentais les larmes couler sur mes joues. Je suffoquais. Mais le black ne relâchait pas sa prise. Au contraire. Il forçait pour s’enfoncer encore plus loin. Mes doigts se sont crispés sur ses cuisses dures. Il est alors brusquement sorti de ma bouche pour me gifler à la volée en m’injuriant et en me criant que j’avais intérêt à tout avaler.
Je m’y suis appliquée et, au bout de quelques va-et-vient brutaux, il était parvenu à forcer ma gorge jusqu’au bout. Je sentais ses couilles battre contre mon menton…
Par Isa - Publié dans : Le stage
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Jeudi 27 avril 4 27 /04 /Avr 00:13
Quoi ? Deux de plus ? J’avais cru naïvement que quatre lascars, c’était bien assez comme ça, mais apparemment ce n’était pas l’avis de Blacky. Un quart d’heure passa encore, qui me parut terriblement long. On frappa de nouveau à la porte, et deux autres types entrèrent. Mon heure était venue… De plus en plus tendue, je contemplais, les yeux mi clos les six noirs qui allaient me passer dessus. Blacky se leva, me saisit par les cheveux pour me faire avancer au milieu de la pièce, en disant à ses potes « Bon, voilà la pétasse, elle est à vous. Va falloir la dresser, lui faire comprendre qu’elle est juste bonne à servir de sac à bites, un trou qu’on utilise comme on veut, autant qu’on veut. Elle a pas droit à la parole, elle a juste le droit de devenir une pute à blacks… ».
Puis il s’est tourné vers moi en me tirant encore un peu plus les cheveux : « toi, à poil, et vite ! ». Je n’ai pas réagi tout de suite, j’ai eu un temps d’hésitation. Aussitôt, j’ai pris quatre baffes aller-retour qui m’ont saisies. Blacky a vivement tiré sur la fermeture éclair de mon blouson, dévoilant ma poitrine. Les joues en feu, les larmes au bord des yeux, j’ai baissé ma jupe sous le regard excité des noirs étalés sur le canapé et le lit. Blacky m’a ordonné de m’exposer, d’écarter les cuisses, d’ouvrir mes fesses au maximum pour « qu’ils voient la marchandise ». Cette fois, j’ai obéi tout de suite. Toute honte bue, j’ai du tourner sur moi-même, et je me suis laissée examiner comme une bête de foire.
Par Isa - Publié dans : Le stage
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